Coccinelle à 7 points

Coccinella septempunctata Linnaeus, 1758

Classe : Insecta Ordre : Coleoptera Famille : Coccinellidae Sous-Famille : Coccinellinae Tribu : Coccinellini Genre : Coccinella
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  • 69
    observations

  • 18
    communes

  • 26
    observateurs
    3
    organismes

  • Première observation
    2011

  • Dernière observation
    2024
Antoine Elodie - Blanchemain Joël - Blois Wilfried - Boccon-gebeaud Camille - Bouchard Joris - Burkhart Julie-anne - Chastin Alain - Coulombier Justine - Deffrennes Benoît - Delahaye Thierry - Dodelin Benoît - Dourisboure Peio - Gotti Christophe - Herrmann Mylène - Laurency Sabine - Meeus Guido - Miquet André - Mook Isia - Moussiegt Karine - Parchoux Franck - Renaud Karine - Robert Audrey - Rocher Michel - Rutten Céline - Saurat Rémy - Thierry Delahaye
  • Parc national de la Vanoise
    Participation à 69 Observations
    Part d'aide à la prospection : 100.00 %

    Fiche organisme

  • B. Dodelin & R. Saurat
    Participation à 1 Observation
    Part d'aide à la prospection : 1.45 %

    Fiche organisme

  • Autre
    Participation à 1 Observation
    Part d'aide à la prospection : 1.45 %

    Fiche organisme

Informations espèce

Ce populaire petit coléoptère d’à peine 1 cm de long est d’allure générale bombée. Elle doit son nom aux sept points noirs dessinés sur son abdomen rouge. Elle possède de courtes antennes arrimées sur une tête semblant se fondre avec un thorax orné de tâches claires sur les côtés. Parmi les 90 espèces de coccinelles présentes en France, la coccinelle à sept points est l’une des plus communes en rapport avec les nombreux habitats qu’elle fréquente. Attention à ne pas la confondre avec la coccinelle asiatique, espèce exotique envahissante qui n’a jamais 7 points !

Source : Parc national des Ecrins

La coccinelle à sept points a une grande longévité : 13 mois entre leur sortie de l’œuf et leur dernier instant d’adulte. C’est au printemps, après avoir passé l’hiver en diapause, que les adultes s’accouplent et que les femelles s’affairent à la ponte d’une cinquante d’œufs chaque jour pendant près d’un mois (soit 1 500 œufs par femelle). Après quatre mues larvaires et des centaines de pucerons dévorés, d’une ultime métamorphose émerge un adulte parfait. Tout comme sa larve, l’adulte est un dévoreur de pucerons qui se réfugiera en colonies à l’arrivée de l’hiver dans un lieu à l’abri afin de renaître au printemps et perpétuer l’espèce.

Source : Parc national des Ecrins

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