Chargement...

  • 286
    observations

  • 22
    communes

  • 42
    observateurs
    1
    organisme

  • Première observation
    1998

  • Dernière observation
    2024
Antoine Elodie - Arsac Thierry - Balais Christian - Berthillot Sandrine - Beurier Mathieu - Blanchemain Joël - Blois Wilfried - Bonnevie Danièle - Bonsacquet Lionel - Borrel Michel - Caillot Yoann - Chapel Ingrid - Dalix Jean-françois - Deffrennes Benoît - Draperi Marion - Dunajev Sophie - Etievant Jean-luc - Ferbayre Jean-paul - Garnier Alexandre - Gotti Christophe - Grosset Guy-noël - Hagry Valerie - Henry Elodie - Herrmann Mylène - Jourdan Jeremie - Jourdan Jérémie - Lacosse Pierre - Malrat Didier - Masset Aymeric - Moussiegt Karine - Parchoux Franck - Perier Muzet Laurent - Plumecocq Benjamin - Poulet Laetitia - Rutten Céline - Seignemartin Aurore - Storck Frantz - Suret Henri - Tardivet Chloé - Thierry Delahaye - Tissot Nathalie - Vanmarcke Pierre-jean
  • Parc national de la Vanoise
    Participation à 286 Observations
    Part d'aide à la prospection : 100.00 %

    Fiche organisme

Informations espèce

Le torcol fourmilier est un oiseau de la famille des picidés au dessus gris et brun moucheté de noir et de gris, à la gorge ocre et au ventre blanc crème, tachetés de noir. Il a de grandes bandes sombres au niveau de l'oeil ainsi qu'une sur le dos. La parfaite tenue pour passer inaperçu sur les branches d'un arbre ! Migrateur, il fait entendre son chant sonore et nasillard dès avril dans les vergers, bocages et bois jusqu'à 1 800 m.

Source : Parc national des Ecrins

Cet oiseau doit son nom à sa manière d'étirer et de tordre son cou dans différentes circonstances : parades nuptiales, alertes, où il l'allonge et le tord alors démesurément en hérissant une crête de plumes. Fourmilier car il se nourrit principalement de fourmis qu'il attrape au sol ou dans les crevasses de troncs, à l'aide d'une longue langue collante. S'il niche dans les cavités d'arbres, il ne les fore pas lui-même comme les autres picidés desquels il se distingue d'ailleurs de bien des façons : il n'est pas plus gros qu'une grive, a un vol peu onduleux et ne grimpe pas le long des troncs en s'appuyant sur sa queue. Un original !

Source : Parc national des Ecrins

Non renseigné pour le moment
Non renseigné pour le moment
Jynx torquilla torquilla Linnaeus, 1758 | Jynx torquilla tschusii Kleinschmidt, 1907

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles