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  • 268
    observations

  • 25
    communes

  • 46
    observateurs
    1
    organisme

  • Première observation
    1994

  • Dernière observation
    2024
Antoine Elodie - Arsac Thierry - Balais Christian - Benyoub Abdelbaki - Beurier Mathieu - Bidat Mathieu - Blanchemain Joël - Blois Wilfried - Boccon-gebeaud Camille - Brunet Clement - Caillot Yoann - Dalix Jean-françois - Deffrennes Benoît - Descaves Bruno - Emorine Etienne - Ferbayre Jean-paul - Gomez Nicolas - Gotti Christophe - Hagry Valerie - Henry Elodie - Herrmann Mylène - Jordana Régis - Jourdan Jeremie - Jourdan Jérémie - Lacosse Pierre - Laurency Sabine - Lemmet Sandrine - Masset Aymeric - Mele Stéphane - Moussiegt Karine - Parchoux Franck - Pardi Jean-luc - Petitpas Antoine - Ployer Jean-yves - Plumecocq Benjamin - Poulet Laetitia - Rannou Gwendal - Rocher Michel - Rutten Céline - Sagot Clotilde - Storck Frantz - Suret Henri - Tardivet Chloé - Tissot Nathalie - Tonnelier Marie-laure - Vanmarcke Pierre-jean
  • Parc national de la Vanoise
    Participation à 268 Observations
    Part d'aide à la prospection : 100.00 %

    Fiche organisme

Informations espèce

La pie-grièche écorcheur fait partie de la famille des passereaux. Elle est de la taille d'un gros moineau. C'est une espèce chez laquelle il existe un fort dimorphisme sexuel. Le mâle a la tête et le croupion gris cendré avec un bandeau noir sur l’œil, les ailes brun roux et la poitrine rose très pâle. La femelle a la tête et les ailes brun sombre assez uniforme avec la poitrine blanc cassé à jaunâtre, barrée par de fins traits qui dessinent comme des écailles. C'est la plus commune de nos pies grièches. L'espèce niche le plus souvent dans des buissons épineux (épine vinette, argousier,...). Elle est présente chez nous de mai à septembre (reproduction) et part ensuite hiverner en Afrique tropicale.

Source : Parc national des Ecrins

La pie-grièche écorcheur a l'habitude d’empaler ses proies (gros coléoptères, petits oiseaux, micro-mammifères, …) sur des « lardoirs » constitués par les épines des buissons sur lesquels elle se poste (argousier, épine vinette, aubépine, églantier, …), mais aussi sur les fils de fer barbelés. Cette technique lui permet de se constituer un garde-manger et lui sert à immobiliser facilement ses proies pour les découper en morceaux. C'est une espèce en forte régression en Europe de l'ouest du fait de la disparition de son habitat par l'agriculture intensive (pesticides, engrais, disparition des bosquets, etc.).

Source : Parc national des Ecrins

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Lanius collurio collurio Linnaeus, 1758

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles